Играчтът на ЦСКА Аурелиен Йоахим даде сканално интервю пред "Lequotidien" в родния си Люксембург 28-годишният играч обвини лекарите на клуба, че не могат да се справят с контузията му вече два месеца.
"Лекарят само ме пипна по крака и каза, че ми няма нищо и ме изпрати да тренирам. А после при заниманията с физиотерапевтите се оказа, че проблемите ми са се влошили. Медицинските лица в клуба са трима, но ако те бъдат обединени в една личност, може и да е наполовина отговорен, колкото би трябвало да бъде въпросният човек. И всичко това не е от липса на пари, напротив. Просто явно там са на стария принцип, че дори и да си ранен, ти трябва да участваш във войната. Положението е просто ужасно от медицинска гледна точка", заяви Йоахим.
Той обяснява и защо не се е възползвал от възможността да посети сръбската лечителка Марияна, която е известна, че бързо оправя подобни контузии. "При нея само консултацията е 1500 евро. Ако бях отишъл там, сигурно сега щях да кося ливадите, а не да се занимавам с футбол", обяви Йоахим.
Triono
на 16.11.2014 в 07:06:31 #4ей га статията: Football : Joachim échappe de peu au placenta de jument 2014-11-14 12:58:00 Depuis six semaines, Aurélien Joachim, confronté à l'amateurisme du CSKA Sofia en matière de soins, se guérit tout seul ou plutôt par correspondance. "Là-bas, tout est parfait tant que tu n'es pas blessé". Aurélien Joachim a touché du doigt les limites du football professionnel dans l'est de l'Europe. Il estime que, bien encadré, il aurait déjà pu rejouer depuis une bonne semaine. À la place, il se contente déjà amplement d'avoir pu passer deux semaines à se soigner au Luxembourg... Quand il donne sa bénédiction à Aurélien Joachim pour prendre l'avion avec cinq jours d'avance sur la date à laquelle le CSKA Sofia doit légalement le libérer pour rejoindre sa sélection, Stoycho Mladenov, son entraîneur, ne lui donne qu'une seule consigne, péremptoire : "Reviens guéri !" C'est, en six semaines, ce que le club phare d'un pays de la taille de la Bulgarie a échoué à faire avec son attaquant luxembourgeois. "Une catastrophe". Quand il doit faire court, c'est comme ça qu'Aurélien Joachim décrit son dernier mois et demi du côté de Sofia. "C'est simple, je me suis soigné tout seul". La capitale bulgare, visiblement, n'est pas encore outillée en hommes compétents pour faire face à une simple déchirure. L'un des docteurs du club s'est contenté de lui tâter la jambe et de grommeler que tout était en ordre, qu'il n'y avait pas d'examens complémentaires à réaliser. Quant aux kinésithérapeutes du staff médical, ils n'ont arraché qu'une chose, physiquement, à Joachim : un long soupir. "Ils sont trois et si vous les mettez tous ensemble, vous en obtenez peut-être un qui soit vraiment compétent. Là-bas, ce n'est pas dans les soins qu'ils mettent leur argent. D'ailleurs, c'est à l'ancienne, un peu comme à l'armée : même si tu es blessé, tu joues". C'est comme ça que le patron de l'attaque luxembourgeoise a traîné son pépin à la cuisse tout ce dernier mois et demi. Mais il touche vraiment le fond quand son coach lui avoue que le club envisage de l'envoyer "consulter à Belgrade, chez cette fameuse spécialiste (NDLR : la docteure Marijana Kovacevic) qui a soigné Diego Costa avant la finale de la Ligue des champions et utilise du placenta de jument". L'hypothèse d'un "traitement à 1 500 euros la consultation" qui le fait alors bondir au point de la refuser tout net, occasionne aujourd'hui un bon gros rire... jaune : «Si j'avais été soigné ici, j'aurais déjà refoulé les pelouses.» Ce constat, il le fait très tôt. Dès sa blessure. C'est bien pour ça qu'il s'est pris en main… seul. Avec la bénédiction de son staff technique, Aurélien Joachim s'est fait livrer un programme clef en main… par celui de Luc Holtz. Claude Origer, en charge de la préparation physique, lui expédie donc, pendant près d'un mois, semaine après semaine, les exercices pour se retaper tout seul. "On s'envoyait régulièrement des messages et on improvisait", raconte le garçon, qui ne pensait sûrement pas vivre un jour le professionnalisme sous cet angle. > "Avec la boue, je ne voyais plus mes pieds" Joachim débarque donc quotidiennement au centre d'entraînement et s'en va à l'écart soigner son mal de façon un peu plus rationnelle voire scientifique que ce que l'on peut lui proposer au sein de son propre club. Sans que personne ne sache ni ce qu'il fait ni comment il le fait. Le hic, c'est qu'à trop en faire, il attire le regard de Stoycho Mladenov. "Normal, je restais plus longtemps sur le terrain qu'eux". D'où la rechute : à le voir carburer, le staff technique, qui ne peut pas s'appuyer sur l'analyse d'un staff médical digne de ce nom, précipite un peu trop son retour. S'il est effectivement prêt pour des jeux simples de passe, il ne l'est pas pour des oppositions. La douleur revient, une semaine perdue de plus. Ou plutôt une de gagnée puisque Joachim y gagne le droit de revenir au Grand-Duché en avance. Après une bonne dizaine de jours à se faire chouchouter par la FLF, il entrevoit la lumière. Ce pourrait être pour l'Ukraine, samedi, avec le regret de ne pas avoir été présent face au Belarus et la Macédoine, "dans des rencontres où l'on pouvait prendre des points". Ou ce sera pour Ludogorets vendredi prochain, pour le choc de l'A PFG, qui peut permettre à son CSKA Sofia de prendre huit points d'avance sur le champion en titre. Puis il y aura un court sprint jusqu'à mi-décembre et enfin des vacances, qui le sortiront de la rigueur de l'hiver local ("Lors d'un de mes derniers matches, en Coupe, on avait joué sur un terrain tellement boueux que je ne voyais même plus mes pieds en deuxième période".) avant d'embrayer sur trois semaines de préparation en Turquie. Elles seront nécessaires pour le relancer après une première partie de saison complètement pourrie par les pépins. Il cherchera à y regagner une place de titulaire. Sans placenta ni jument.
JedyMaster
на 15.11.2014 в 08:16:51 #35. DrHobbes | +1
DrHobbes
на 15.11.2014 в 07:42:35 #2В оригиналната статия не се представят точно така нещата. Странно в как гонг пуска нещо, преведено от някоя петокласничка, и за няма и час две други "медии" го преписват. Дори не казват и източника. Искам да ми намерите в оригиналния текст, къде се казва, че в ЦСКА е ужасно! И къде Жоаким казва, че е щял да коси ливади? Ако за първото можем да приемем, че е интерпретация (или по-скоро мокър сън на преводача), то второто е тотална измислица. Уви, не е единствената. Аз от оригиналната статия ще запомня само едно - В ЦСКА Е ПЕРФЕКТНО! Това защо ли не се споменава в "превода"
Triono
на 15.11.2014 в 00:49:11 #1в ЦСКА се действува по спартанските методи, оцеляват само елитните индивиди, лесни е друга бира там друзята от ДС са перманентно играещи куци коне, както още на времето беше отбелязъл Батето....